Mes amis je vous invite tout d'abord à prier. La prière nous apporte bien plus qu'une voie vers Dieu, en unissant nos voix nous renforcons notre foi et l'amitié qui nous lie tous les uns aux autres à travers la sainte Eglise. Alors prions :
Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés;
En la Vie Eternelle.
AMEN
Nous pouvons nous demander : Après tout qui sommes nous en tant que fidèle aristotélicien ? Qui etes vous, vous qui êtes entrer dans cette église ? Vous etes, je suis, une partie intégrante de Dieu car il nous a créé à partir de lui. Nous devons maintenant organiser notre existence de façon à le servir pour l'en remercier. C'est à dire s'abstenir de tout péché, mais sans oublier de vivre. Vivre comme nous le rapellera Christos dans ses logion 9 et 10.
- Citation :
- Logion 9 : Parfois Christos nous conseillait : " Si pour vous la vie n’a pas de sens, alors aimez la vie plus que le sens de la vie. N’attendez pas de mourir pour comprendre que vous passez votre vie à côté de la vie. Rappelez vous : Nous ne sommes pas nés seulement pour mourir, nous sommes nés pour vivre. "
- Citation :
- Logion 10 : Et concernant l’attitude à avoir concernant la vie de tout les jours, Christos martelait : " N’attendez plus rien de la vie. Non comme des blasés, mais comme ceux qui savent qu’à chaque instant, tout leur est infiniment donné. "
Néanmoins il faut savoir faire la différence entre vivre et pécher ! Dieu nous interdit le péché, tandis qu'évidemment il nous encourage à la vertu. Aujourd'hui il nous faut faire la différence entre péché et vertu, pour orienter nos vies vers Dieu. En tant que créature de Dieu nous sommes imparfaits, car nous ne sommes pas comme Dieu, nous sommes d'esprits ET de matière. Les humains ne peuvent donc que tendre vers cette perfection, sans l'atteindre. Dieu réunit en Lui toute vertus, il est parfait. Les saints ou saintes, comme sainte Clothilde se définissent comme des gens capables de se rapprocher de la perfection par la vertu, pas comme des personnes qui l’ont atteinte, car seul Dieu est parfait.
Le péché absolu est la négation de ce que l'on est, soit la négation de Dieu et de ses enseignements. Personne, ne peut atteindre cet état, tout comme personne ne peut atteindre la perfection. Néanmoins l'imperfection de notre être nous permet de tendre vers cet état. Dieu Lui ne peut évidemment pas tendre vers cet état.
Il existe ainsi 7 vertus principales auxquelles correspondent 7 péchés capitaux. L'amitié est la première et la plus importante vertu. Elle peut nous sauver puisqu'elle donne un but à notre vie. C'est la faculté de se préoccuper du sort d'autrui. Elle est caractérisée par l'empathie, la charité, l'entraide, la réciprocité des rapports sociaux et l'amour du prochain. Mais prenez garde à vous car non loin de l'amitié existe dans les rapports avec les autres l'avarice qui est le premier des 7 péchés capitaux. Les êtres atteint d'avarice sont égoiste, autun et méprisant des autres. Ceux qui manifestent ces sentiments sont dans l'erreur car ils n'ont pas compris qu'elle beauté l'amitié humaine possédait. Nous devons les plaindres et les aider à revenir dans le droit chemin. En étant charitable on remplit Dieu de joie.
Aldena laissa un moment les fidèles réfléchir puis s'attaqua à l'explication du deuxième péché :
La deuxième vertu est la conservation. C'est la faculté d'oeuvrer à sa propre survie. En prenant conscience de ses besoins en nourriture, en eau, en sommeil l'Homme montre sa faculté à respecter la parole de Dieu en exploitant son environnement pour vivre. L'homme ainsi est autonome. Mais il faut bien se garder surtout de tomber dans l'excès. Nous ne devons consommé que le nécessaire. Ainsi la gourmandise est le péché correspondant à la conservation. Dieu condamne les abus. Il faut avoir la mesure des nécessités de notre subsistance. Ce vice est l'abus du plaisir des besoins primaires. Ce n'est ni sain, ni équitable !
La troisième vertue est son auto sacrifice au profit de la communauté aristotélicienne et de la république. C'est l'abstraction faite de sa propre individualité, la conscence de faire partie d'un tout, plus grand et plus important qui mérite le don de soi à la communauté. Le péché correspondant est la marginalité comme sentiment de pouvoir vivre hors de la communauté, d'être capable d'atteindre le statut divin, dont nous avons parlé tout à l'heure. C'est une forme d'orgueil !
La quatrième vertue est la tempérance. Dieu préconise de nous que l'on soit capable de se modérer en toute circonstance ! Il faut pouvoir resté calme et pondéré en suivant la voie du juste milieu que préconise notre foi. La colère est le péché contraire à la tempérance. Il correspond justement à ce manque de compréhension à l'égard de ses semblables.
Il ne faut pas éprouver de la haine face à ses semblables même si ils n'ont pas les mêmes opinion que soi. Cette colère n'est bénéfique à aucun dialogue et seul le dialogue permet d'avancer. Si nous éprouvons de la colère nous fermons l'autre à nos arguments, à notre discours. Un bon aristotélicien ne se fache pas !
La cinquième vertu est la justice. C'est la magnanimité, la faculté de reconnaitre la valeur de l'autre, mais aussi à identifier l'interet d'autrui. L'envie correspond à la justice. L'envie c'est le péché de vouloir la récompense attribuer à autrui, d'avoir ses biens ou son bonheur. Ce sentiment n'est pas sage. Il conduit vers la mauvaise voie. La convoitisse de ce que l'on ne peut obtenir ne nous permet que la folie ou la méchanceté. Le pire est de nuire à quelqu'un par convoitisse de ses biens. Tout les aristotéliciens ont été créé à partir de Dieu. Nous sommes donc tous sur un pied d'égalité et seule la justice nous apportera la bonheur, pas l'envie. Ceci nous ammène à la sixième vertu puisque cette vertue est le plaisir.
La sixième vertu est la faculté de l'homme à réunir les conditions de son propre bonheur. Pas par l'envie mais bian en travaillant honnetement dans ce but. Le plaisir est la conscience de soi, de son corps, de son ame, des ses besoins pour faire de son existence une vie facile et heureuse. Mais ceux qui suivent les enseignements de Dieu et son heureux par le plasir ne doivent pas glisser dans l'acédie, qui est le vice de celui qui n'a plus gout à la vie, qui ignore sa propre satisfaction par une abondance de bien ! Celui qui sombre dans l'acédie entre en dépression spirituelle, reste passif. C'est ainsi peut-etre le péché qui nous éloigne le plus de Dieu car on oublie de le prier et de le remercier pour ce qu'il nous a donné ! Car même si il faut prier Dieu dans les moments difficile de notre vie, pour lui demander assistance, il faut surtout prier Dieu pour le remercier de ce qu'il nous a permis d'obtenir !
La dernière et septième vertu est l'espérance. L'espoir d'un avenir heureux. C'est la conscience des interet et besoins futures de notre communauté de croyants. C'est la foi. Il s'y oppose la luxure qui est le vice de ceux qui se complaisent dans l'abus des choses de la chair et dans le nihilisme le plus complet.
Gardez vous bien de ses péchés mes amis et restez dans la joie de la vertu. Seul cette voie permettra le salut de votre âme. N'ayez point peur de vous confessez si certains péchés vous ont atteint. Il est normal en tant qu'etre imparfait de se tromper quelque fois. Mais il faut que vous regrettiez sincèrement vos péchés pour qu'ils vous soit pardonné. Miantenant je vous demande de ne jamis oublier Dieu et de le remercier sans arret pour les bonnes chsoes qu'il vous a apporté. L'église vous est ouverte pour que vous puissiez prier toute la semaine ici même, seul ou même en groupe.
Que la sagesse d'Aristote vous accompagne et vous écarte des péchés du monde.
AMEN mes amis, partez en paix.
(excusez moi du retard j'ai eu un petit imprévu !!
)